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07 JANVIER : ILE DE FRANCE / VAL D'OISE / VOEUX UNSFA (95)
Voeux UNSFA (95):Détails >>
Le Président et le Conseil d’administration du Syndicat des Architectes du Val d'Oise ont le plaisir de vous inviter à la présentation de leurs voeux pour la nouvelle année 2014
«Architecte Profession en mutation»
Le Mardi 7 janvier 2014 à 18 heures
au LYCÉE LE CORBUSIER 2 rue Paul Bloch 95240 Cormeilles en Parisis
Merci de confirmer votre présence en envoyant vos coordonnées à contact@unsfa95.eu -
23 JANVIER : MIDI-PYRéNéES / AVEYRON / MILLAU (12)
Visite du site : Le Pôle d'Enseignement SupérieurDétails >>
Le Pôle d’Enseignement Supérieur est intégré dans son environnement immédiat et participe à la structuration du nouveau quartier Capelle-Guibert à Millau.
Il est composé de deux collatéraux qui enserrent un espace central où sont rassemblés les locaux communs. Ce dispositif mutualise les moyens de l’IFSI et du CNAM tout en garantissant des fonctionnements différenciés.
Le bâtiment dialogue avec les Causses environnants : bardage en bois, socle minéral, jardin suspendu en cinquième façade.
Dans sa conception, l’accent a été mis sur « la maîtrise du climat intérieur » à partir d’un système d’échangeur thermique entre deux serres qui renforcent encore la touche végétale du lieu. Froide pour l’été et chaude pour l’hiver, elles assurent le chauffage et la climatisation des lieux.
L’isolation par l’extérieur et les toitures végétalisées favorisent l’inertie du bâtiment tandis que les façades vitrées sont toutes équipées de ventelles orientables selon les saisons.
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28 JANVIER : LANGUEDOC ROUSSILON / HERAULT / SéRIGNAN (34)
Visite du Site : Le Lycée Marc BlochDétails >>
Un lycée ancré dans son territoire.
« Le choix de l’équilibre pérenne et durable d’éléments naturels pour une
architecture des générations de demain »
Le lycée est là, aux marges de Sérignan et de Béziers, il se tapit dans le paysage. La Méditerranée est proche, rappelant si besoin était, l’antique concept du lyceios, lieu d’enseignement mais aussi lieu de rencontres, d’échanges et de convivialité.
Enceinte quadrangulaire simple à l’instar des plans des mas qui parsèment la campagne du
Biterrois, respectant le contexte géographique mais surtout le contexte climatique. Enceinte fermée à l’Ouest par une colonnade de pierres extraites des carrières ; les pierres de l’entrée principale est du granit du Tarn Silver star de la carrière de Plo, protégeant les espaces intérieurs des assauts
des vents du nord-ouest.
La simplicité du parti architectural et fonctionnel est en soi déjà l’apanage d’une architecture méditerranéenne. Elle concourt à assurer un choix bioclimatique passif que déjà dans le passé les abbayes cisterciennes toutes proches avaient su opérer. L’ombre et la lumière sont les partenaires
ancestraux de cette architecture, elles sont ici réinterprétées pour le confort des hommes et la force plastique que le subtil jeu de la lumière sur les volumes confère aux lieux méditerranéens.
Si selon Vitruve, l’architecture doit être belle et fonctionnelle, elle doit être faite pour durer ; si ces deux premiers critères ont conduit notre hiérarchisation des choix opérés, la durabilité de l’ouvrage est fondamentale. Le recours à la pierre et au béton brut, au-delà de leur rapport à la lumière, garantit la pérennité de l’ouvrage.
À partir de l’esquisse, le maître mot a été « contextualité », permettant d’utiliser au mieux les ressources et les savoirs locaux, permettant d’affi ner les choix techniques les plus simples, accessibles à tous types d’entreprises, conscient à l’instar de Paul Valéry, que toute modernité
n’est que l’âme du passé.
François Fontès -
30 JANVIER : RHôNES ALPES / DROME / TAIN L'HERMITAGE (26)
Visite du site : La seconde tranche du Lycée HôtelierDétails >>
La dernière tranche de travaux permet de relier l’ensemble des éléments du programme entre eux au travers de la galerie de liaison, du parc, et du nouveau hall des élèves, de la refonte totale des extérieurs et voiries.
A l’entrée l’ancienne cour goudronnée a été transformée en un parc arboré que traversent les élèves sous la galerie.
Celle-ci débouche dans un hall de trois niveaux de hauteur, reliant les différents étages de classes, l’administration, le self, le CDI, les patios du CDI et du self
Ce hall également relié au foyer des internes, avec leur cour accédant aux deux bâtiments d’internats rénovés est le nouveau cœur de vie du Lycée.
Les internats innovent car réaménagés par maisonnées reliant deux niveaux entre eux.
Pour permettre ces travaux en site occupé une base d’ALGECO a été construite pendant les travaux, de nombreuses dispositions, adaptations et transfert ont eu lieu.
L’ensemble adopte les dispositions de développement durable inscrites à la charte verte de la région.
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04 FéVRIER : ILE DE FRANCE / SEINE ET MARNE / MELUN (77)
Visite du site : Le Siège des Foyers de Seine et MarneDétails >>
F.S.M, important bailleur social local, cherchait à se relocaliser proche du centre ville et de la gare RER, notamment pour favoriser la mobilité de ses collaborateurs. L’opportunité s’est présentée sous la forme d’un bâtiment existant d’aspect massif situé avenue Thiers, qui n’est autre que la RN6 dans sa traversé de l’agglomération.
D’une surface shon globale de 1400 m2 environ, le bâtiment d’origine se caractérise par une profondeur de 21 m avec pour conséquence des surfaces sombres et peu exploitables au cœur du bâtiment.
Les problématiques essentielles ont été :
1) D’ouvrir le cœur du bâtiment pour apporter lumière et transparence à ce volume opaque, objectif obtenu par la création d’un vaste atrium central dont les parois intérieures sont traitées en Réglit ( ou Profilit, c’est selon)
2) Lui donner une « image » en corrélation avec les valeurs du Maître d’Ouvrage, très axées sur la RSE et le Développement Durable
3) Répondre aux problématiques acoustiques de l’avenue Thiers, voie de catégorie 1 avec une exigence mini de 40 dB.
4) Trouver des solutions adaptées à l’usage du bâtiment tout en améliorant les performances thermiques.
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18 FéVRIER : NORD-PAS-DE-CALAIS / PAS-DE-CALAIS / DAINVILLE (62)
Visite du site : Le Centre de conservation et d’Études ArchéologiquesDétails >>
Inscrit dans un paysage rural en pleine mutation, le projet de centre de conservation et d’études archéologiques de Dainville s’affiche comme la vitrine du futur éco-quartier. L’intention est de créer une structure encastrée dans la pente, interagissant avec la géographie, la géologie et la topographie du lieu. Ainsi, le projet s’amuse de la déclivité du site en donnant à voir ses cinq façades. La toiture est traitée comme une façade à part entière et est traitée avec une sur toiture en bois émergeant de toitures végétalisées.
En réinterprétant le système de défense des châteaux forts, l’édifice protège le patrimoine régional et joue avec les courbes de niveaux du terrain. Ne pouvant exposer le patrimoine archéologique du fait de sa fragilité, nous avons décidé de «mettre au jour» le métier d’archéologue. De fait, un cheminement extérieur emmène le visiteur au long des différentes étapes de traitement du mobilier, tout en restant à distance des façades grâce à la noue, évocation du système de défense du moyen Age.
Le projet se construit autour de deux phases, différées dans le temps.
La première, formant un “T” accueille les salles de traitement du mobilier ainsi que de nombreux stockages différenciés selon les matériaux récoltés.
La seconde phase ménagera un espace de médiation, accessible au jeune public, donnant à voir les salles de conservations ainsi qu’une bibliothèque et les bureaux de l’administration. Le tout dessinant un rectangle parfait.
Afin de s’insérer de la manière la plus respectueuse de l’environnement possible, le projet récolte et infiltre toutes les eaux pluviales de la parcelle.
Il utilise l’énergie solaire et est conçu de la manière la plus compacte qui soit afin d’augmenter l’inertie et ainsi permettre des économies d’énergie.