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  • 02 FéVRIER : BRETAGNE / FINISTèRE / QUIMPER (29)

    Visite du site : Parc des Expositions de Pennevilliers

    Situé au nord de la ville de Quimper (29), le Parc des Expositions de Penvillers déploie ses arborescences le long de la rue de Stang Bihan, marquant de manière monumentale l’entrée du site et participant ainsi à la composition de l’espace public.
    De conception bioclimatique, le projet s'appuie sur le bois et le béton pour construire une allégorie de la nature, tant dans son esthétique que dans son ambition à s'appuyer au maximum sur les qualités particulières de ces matériaux.
    Le bois domine l'ensemble du projet: charpente, murs, planchers, bardages. Dans la nouvelle halle, le lamellé collé qui constitue la charpente permet de franchir 38m de portée sans point d'appui intermédiaire. Les parois du volume bas sont constituées de murs à ossature bois avec isolation intégrée, et de panneaux de bois massif contre cloué.
    La partie administrative est entièrement réalisée en plancher, charpente, et mur bois, avec isolation intégré, et présente une étanchéité à l'air très performante.
    Le béton est utilisé essentiellement dans la halle principale, pour son inertie, son efficience structurelle et sa plasticité, à travers un dispositif bioclimatique de mur Trombe (voile de 50cm d'épaisseur couplé à un mur rideau) qui assure une ventilation naturelle croisée.
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  • 03 FéVRIER : ILE DE FRANCE / ESSONE / EVRY (91)

    L’Union des Architectes de l’Essonne et la MAF organisent une séance de Formation et d’Echanges le mercredi 3 Février à 18h30, Hôtel Ibis Evry Cathédrale. 52 Boulevard des Coquibus, 91000 Évry

    - Comment remplir sa déclaration sur le site de la MAF et/ou sur les fiches papier? y compris réponses à toutes les questions
    - Information et sensibilisation au sujet de la Sinistralité y compris tous échanges

    Tout d’abord réunis dans une salle de formation, nous poursuivrons par un dîner dans le restaurant de l’Hôtel.
    Les repas sont à la charge de chaque participant.

    Veuillez-vous inscrire auprès de brigitte mella avant le 22 janvier 2016 : architecte@brigittemella.com
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  • 09 FéVRIER : ILE DE FRANCE / PARIS (75)

    Visite du site : le Gymnase Suchet

    Ce gymnase, grand vaisseau mystérieux et compact, en construction 100% bois, s’implante le long d'une avenue ; or le jeu d’encaissement des volumes permet de limiter son émergence, c’est presque devenu une clôture habitée.
    Et seul l’élan vertical autour du mur d’escalade et du hall vient dévoiler son intense activité aux passants.
    Cette implantation libère un grand espace intérieur, ouvert sur le bois de Boulogne et continu entre les deux squares. Il est divisé en deux:
    – Le long du gymnase un grand mail planté sert de parvis d’entrée puis permet d’accéder au TEP et au gymnase en structure légère.
    – À l’angle de l’avenue du Maréchal du Maréchal Franchet d’Esperey l’entrée historique du site est conservée, et un grand “ponton” rejoint le mail en franchissant un “jardin en creux” inondable.
    Ce nouveau jardin d’entrée est équipé d’un terrain de pétanque d’accès libre - à une encablure du mythique terrain du Bois de Boulogne, l’occasion était trop belle
    – et de bancs pour en faire un lieu partagé.
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  • 11 FéVRIER : RHôNES ALPES / ISèRE / GRENOBLE (38)

    Visite du site : EED et BEESY

    Les projets EDD et BEeSy font partie d’une opération immobilière majeure entreprise dans le cadre de l’Opération Campus, le plus important investissement réalisé sur le domaine universitaire depuis plus de 30 ans.

    - Projet EDD – « Environnement et Développement Durable » :
    Le projet EDD a pour objectif de structurer le pôle grenoblois des Sciences de l’environnement afin de rapprocher les équipes et faciliter le développement de projets transdisciplinaires autour du climat et du développement durable.

    EDD est un bâtiment de 4 500 m², d’environ 16m de haut, à usage de bureaux et laboratoires comportant 3 étages sur rez-de-chaussée pour la partie bureaux et un rez-de-chaussée pour la partie laboratoires.
    Le rez-de-chaussée est découpé en 2 blocs :
    o Le bloc Nord accueille les espaces communs accessibles au public et aux visiteurs : hall d’accueil, cafétéria, salle de réunion, espace formations…
    o Le bloc Sud accueille les laboratoires, les espaces techniques de recherche et leurs bureaux associés.
    Les 3 étages de tertiaire accueillent les bureaux des chercheurs et doctorants.


    - BEeSy : « Biologie Environnementale et Systémique »
    Le pôle de recherche BEeSy vise à restructurer et à développer les espaces expérimentaux du bâtiment Biologie B.

    BEeSy est un bâtiment de 1 200 m² à usage de laboratoires et animalerie, extension du bâtiment existant Biologie B. D’environ 15 m de haut, le bâtiment comporte 3 étages sur rez-de-chaussée :
    o Le rez-de-chaussée comprend la chaufferie et des locaux techniques.
    o Le R+1 comprend une zone de laboratoires spécialisés dans la culture cellulaire (environnement L2) et une zone de laboratoires de biologie banalisés auxquels sont associées des ressources techniques.
    o Le R+2 comprend l’animalerie comportant des zones de stabulations rongeurs (environnements A1+ et A2) et une zone insectes composée de 3 insectariums (environnement A2).
    o Le R+3 comprend des locaux techniques.
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  • 16 FéVRIER : ILE DE FRANCE / SEINE-SAINT-DENIS / SAINT DENIS (93)

    Visite du site :

    Le groupe scolaire Niki de Saint Phalle est une fleur bâtie de presque 5000 m2 qui a éclos en plein coeur d'une ancienne friche industrielle.
    Face à un environnement portant encore les stigmates de son activité passée, ce projet amorce le mouvement de renouvellement complet de cette zone partiellement abandonnée. Dans cette opération de grande envergure visant l'amélioration du cadre de vie de tout un quartier, le bâtiment fait office de première pierre. Pour enrayer le délabrement et la grisaille du lieu, la pierre se devait d'être précieuse.

    Puisque tout reste à faire alentours, ce projet était aussi grisant que d'être le premier à marcher au matin dans une neige tombée la nuit, nous avons eu le privilège d'intervenir dans un environnement quasi-lunaire dans lequel nous étions libres de concevoir et d'imaginer sans contrainte avec une joie et une insouciance qui nous rappelaient parfois notre propre enfance. Cette innocence retrouvée a nourri un travail sincère et presque sans limite, dont l'unique préoccupation était le bien être et l'émerveillement de ses occupants.

    Nous avons réussi à entrainer avec nous la maîtrise d'ouvrage et les entreprises, avec qui nous sommes parvenus à livrer ce bâtiment dans le respect du budget et du délai imposé. Le chemin des petits cailloux n'est plus une impasse lugubre mais une porte ouverte sur l'avenir de centaines d'écoliers qui apprendront à lire, écrire, compter, dessiner, chanter, dans une école parfois verte, parfois orange, parfois en bois, parfois les trois, entre des murs parfois courbes, parfois droits, avec des trous ou pas. Au coeur de tout cela, deux bibliothèques dépassent dans le vide comme deux aéronefs élevant les enfants par les livres et le savoir.
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  • 23 FéVRIER : BOURGOGNE / CôTE D'OR / SAINT APPOLINAIRE (21)

    Visite du site : Siège de SPIE Bourgogne

    Le siège de SPIE Bourgogne regroupe 2 050 m2 de locaux tertiaires organisés sur trois niveaux d’un plan à trois branches, et un magasin dissocié. Les bureaux adoptent le système constructif « ni mur, ni poto » basé sur des aiguilles acier porteuses en façade et des dalles alvéolaires qui franchissent sans appui l’espace intérieur.

    Ce dispositif crée des plateaux libres, sans point dur et sans retombée de poutre, et permet de faire évoluer les partitions et la distribution des fluides au cours des phases d’étude, puis des vies futures du bâtiment. L’épaisseur variable des plateaux, de 11 à 15 m, permet d’éclairer naturellement tous les espaces de travail et les escaliers, dans une recherche essentielle de confort d’usage et d’efficacité énergétique. Cette variation de la distance entre façades mesure et adapte précisément la quantité utile de locaux aveugles et confirme l’accès à la lumière naturelle comme priorité de la qualité de vie.

    La flexibilité intérieure totale, la dissociation de la structure (aiguilles acier de façade) et de la façade (panneaux modulaires pleins ou vitrés sur la trame de 1.35m des aiguilles et bardage zinc) assurent une grande capacité d’évolution au bâtiment, tant par ses aménagements intérieurs que par la transformation possible de son enveloppe qui, ensemble, garantissent la pérennité de la valeur d’usage et d’un investissement patrimonial. Ces caractères créent une architecture cohérente avec le site et la logique d’un projet tertiaire emblématique, positionné en figure de proue sur un carrefour très fréquenté de la ville de Saint Apollinaire. Les objectifs environnementaux accompagnent cette démarche par une certification BREEAM, niveau PASS, engagée dès l’origine de la conception.
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  • 24 FéVRIER : HAUTE NORMANDIE / EURE / GISORS (27)

    Visite du site : Le Lycée Polyvalent Louise Michel

    Etendre et réhabiliter ce lycée, c’est transformer l’ensemble de son image et la perception qu’il suscite, en développant au travers du bâti, notre définition d’un lieu d’éducation ; un espace collectif animé par les échanges qui s’y tissent, la créativité qui s’y développe, la générosité qui s’y exprime.

    Il s’agit de donner un lycée qui ressemble à Gisors et s’y intègre. Un établissement ancré
    dans une cité à échelle humaine et aux références historiques riches. Une ville qui compose avec un passé médiéval, dont témoigne son château fort, et la permanence de son environnement rural qui s’exprime dans ses corps de ferme.

    Nous voulons valoriser le site naturel, bordé par le canal de l’Epte, pour contribuer à sensibiliserles lycéens à la nature et au paysage.

    Face à la multiplicité des écritures architecturales existantes, l’approche unitaire s’impose. Nous la choisissons douce. La transformation du lycée doit répondre à la société d’aujourd’hui, solennité et anonymat font place à proximité et appropriation. Les codes du bâtiment collectif sont revus, en déclinant sur les nouvelles constructions, la typologie du logement individuel.
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  • 25 FéVRIER : PAYS DE LA LOIRE / LOIRE ATLANTIQUE / REZE (44)

    Visite du site : LA CITE DE FORMATION SANTE SOCIAL MARION CAHOUR

    Le projet est conçu sur les contraintes urbanistiques, dimensionnelles et physiques du terrain, sur l’addition et la superposition des éléments du programme, sur une logique d’organisation et une typologie d’atriums, de patios et jardins intérieurs.
    Le projet d’inscrit dans la gradation du gabarit altimétrique imposé et dans le tirant d’air et l’emprise de la voie romaine. Le niveau 1 s’implante sur les limites extérieures de la parcelle. Les retraits du rez-de-chaussée et le patio central permettent de trouver de la pleine terre. L’organisation du projet à été fait par le choix de son accès via un parvis en descente vers le hall, depuis la voie romaine, et sur le principe des secteurs fonctionnels clairement identifiables par niveau. Tous les éléments de composition sont optimisés pour former un projet compact.

    La facture architecturale issue d’un travail maitrisé reflète le principe fonctionnel du projet, et fait le choix de l’emploi restreint de matériaux optés pour leur pérennité sans entretien particulier.
    Ancré dans le sol, le rez-de-chaussée en retrait, transparent ou évidé est dédié aux fonctions ouvertes sur la ville. Au-dessus de ce niveau de grande hauteur, le niveau 1, flottant linéaire et horizontal franchit les deux ilots au-dessus de la voie romaine. Ce niveau développe l’immense brise-soleil de sa façade Sud jusqu’au retour en façade Ouest pour percuter le bloc vertical de béton blanc marquant l’angle Nord/Ouest de la rue Brosseaud. Cet étage de référence reçoit les niveaux 2 et 3 de conception légère et traités en attique.
    Les volumes et les façades vitrées, pleines, planes ou creusées, accrochent la lumière et varient suivant le mouvement journalier et saisonnier du soleil. L’édifice recherche un équilibre serein et prône une image forte et valorisante dans un contexte urbain en pleine mutation, face à la maison radieuse. Il affiche une correspondance entre son usage et sa destination.
    Les matériaux formant l’enveloppe des façades sont :
    􀂃 en béton préfabriqué teinté masse, lisse ou matricé selon localisation,
    􀂃 en bois naturel,
    􀂃 en zinc laqué,
    􀂃 en menuiseries et mur-rideau alu et bois.
    La cinquième façade offerte aux vues des immeubles existants et à venir est totalement végétalisée et dépourvue d’organes techniques visibles (sauf les capteurs solaires or


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  • 01 MARS : HAUTE NORMANDIE / SEINE MARITIME / LE HAVRE (76)

    Visite du site : L'École Nationale Supérieure Maritime du Havre.

    Un vaisseau urbain

    L’ancrage urbain du projet s’inspire de la relation entre la ville et ses docks ; sa morphologie, son expression et sa texture font écho aux bâtiments qui naviguent sur les océans.
    Son positionnement parallèle au quai le place dans un rapport direct avec le bassin et le port. Sur 100 mètres, le long du quai, le bâtiment affleure l’eau d’un côté, tandis qu’il s’allonge vers la ville de l’autre.
    Son étrave se découpe et offre à la perspective d’entrée du Havre la silhouette d’une proue affutée et tendue face à la ville. Elle marque la présence des premières vues vers le port lorsque l’on pénètre dans la ville en longeant le bassin Vauban. Posée entre terre, ciel et mer, la vision lointaine de l’école renvoie à la perception d’un navire en pleine mer, mais aussi aux grands sélaciens de haute mer.
    Le bâtiment se soulève par le sol et par l’ouverture vitrée, ciselée de l’accueil sur trois façades. Créant une transition entre l’eau, la terre et le ciel, un continuum spatial se développe depuis le bassin jusqu’au toit du projet. Cette séquence ascendante prend naissance sur le quai, s’ouvre à la ville par un parvis en dénivelé et se déploie par une « rue-escalier » traversant les quatre étages de l’édifice jusqu’au pont supérieur qui offre un large panorama sur le port et l’estuaire de la Seine.
    L’enveloppe de résille métallique (aluminium anodisé) aux reflets sombres et fluctuants suivant les saisons, les heures de la journée et les variations climatiques, en fait un bâtiment marin et urbain vibrant. Perforée d’un jeu de vides et de pleins, elle dévoile l’ossature et l’intériorité par jeu de transparence et d’opacité.
    Sculptée par de grandes entailles, cette enveloppe se déploie depuis le sol, elle accompagne le pli des rampes vers l’intérieur et s’efface au niveau de l’attique dans sa limite avec le ciel. L’inclinaison de la ligne de ciel depuis le belvédère jusqu’à la proue ainsi que l’émergence des cheminées de lumière situées à l’aplomb de la rue en escalier, renforce l’allure de navire à la coque sombre.
    De nuit, au contraire, le vaisseau devient lanterne : l’effet des lumières disposées dans l’entre-deux de la double peau translucide révèle la structure.

    Un navire école
    L’ensemble du programme a été configuré de façon à faire du bâtiment un outil pédagogique dont l’organisation interne est comparable à celle d’un navire. Ce concept inédit de Ship in School fait référence aux anciens bateaux école. Il ne s’agit pas de créer un véritable navire mais d’en reprendre les grandes caractéristiques. Les élèves sont immergés dans des conditions de pleine mer les plus proches du réel, avec notamment des salles de simulation ‘machines’, un moteur marine et une dizaine de simulateurs ‘passerelles’ distribués sur trois niveaux.
    Le parti pris architectural d’AIA est de considérer l’école entière dans l’esprit d’un « navire école ». L’ensemble de l’ouvrage est ainsi configuré : depuis son parvis aux allures de passerelle d’embarquement jusqu’à l’ascension vers le pont supérieur en passant par la salle des machines, les locaux techniques situés en cale, les seize salles et quatre amphithéâtres avec vue sur le bassin. Au-delà des espaces spécifiques du programme, les différents espaces intérieurs sont traités dans l’esprit de ceux d’un navire où la présence de la technique est partout visible et omniprésente. Il n’est pas nécessaire de dissimuler cette technique dont les étudiants doivent appréhender les besoins, la finalité et le fonctionnement. Chauffage, ventilation, réseaux d’eau ou différentes distributions électriques ; la technique du projet de l’ENSM est en tout point semblable à celle des navires.

    Tel un navire, l’ENSM est en capacité de gérer ses énergies et d’assurer son autonomie grâce à la construction d’un équipement suivant la démarche bâtiment à énergie positive (BEPOS).
    Cette conception bioclimatique et technique repose sur quatre axes de développement :
    1. la réduction des besoins grâce à une architecture bioclimatique privilégiant les solutions passives
    2. la mise en place de systèmes très performants permettant d’optimiser les consommations
    3. des productions d’énergie locales et renouvelables (système innovant de pompe à chaleur avec capteurs immergés dans le bassin de l’Eure permettent de couvrir l’ensemble des besoins de chauffage et de refroidissement des locaux et 850m² de panneaux photovoltaïques implantés en toiture pour une puissance crête installée de 170kWc.)
    4. le suivi des performances dans le temps avec un outil de gestion technique du bâtiment intégrant un logiciel de suivi énergétique
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  • 03 MARS : AQUITAINE / GIRONDE / TALENCE (33)

    Visite du site : Le campus de l’université de Bordeaux

    Le travail sur ce nouveau campus d’esprit international saisit la mesure des qualités du patrimoine existant : L’ajout d’une série de onze avant-façades en verre (façades bioclimatiques) aux six bâtiments les plus hauts, ponctue le paysage d’Est en Ouest, comme autant de repères identifiables par l’œil de l’usager du campus ou du voyageur en tramway, et permet de restituer la cohérence de l’ensemble architectural d’origine tout en proposant une réponse innovante aux nécessités d’isolation thermique.

    Plusieurs groupes de bâtiments en construction neuve ou rénovés délimitent aussi 3 placettes couvertes de pergolas qui protègent les étudiants des rayons directs du soleil et des fortes chaleurs, proposant des espaces extérieurs de rencontre et d’échange entre les édifices.
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  • 16 MARS : LORRAINE / MOSELLE / THIONVILLE (57)

    Visite du projet : PUZZLE

    Dans un contexte urbain et minéral, notre intervention propose une symbiose entre le végétal et le construit. Organique, notre projet est celui d’un jardin sur le toit. Un plan en béton porte une véritable « clairière urbaine » qui se déploie ; il conduit en douceur au bar d’été situé en hauteur. Nous affirmons ainsi la pertinence de la balade architecturale en ville et l’importance d’y ménager une place pour la nature. En plan, des poches sinueuses ondulent comme pour multiplier les points de contact avec l’extérieur. Elles abritent les différents pôles de la médiathèque en repoussant leur limite. Elles agissent comme des filtres visuels à travers lesquels les différents pôles peuvent s’observer et construire leur identité spatiale.


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  • 21 MARS : ILE DE FRANCE / YVELINES / LES MUREAUX (78)

    Visite du site : Le Pôle Molière

    Le pôle Molière est le symbole du renouveau de la ville des Mureaux et s’inscrit au coeur du projet ANRU de rénovation urbaine du quartier de la vigne blanche.
    Le pôle éducatif Molière est ouvert tous les jours de l’année, 7 jours / 7. Il accueille de multiples activités accessibles à tous les publics, de façon transgénérationelle. Son statut polyvalent permet une multitude d’activités éducatives et culturelles de façon simultanée. Il est destiné à des publics différents sur des temps ouverts et partagés. Il offre des espaces modulables et mutualisés pour tous les publics. Son mode d’organisation spatial assure une flexibilité et indépendance d’accès aux différents espaces. Le projet offre 7 bâtiments intimement liés aux espaces extérieurs. Chaque bâtiment est une entité spécifique répondant à une typologie «idéale» appropriée à son usage. Profitant de la pente du site, le sol est sculpté et étagé pour intégrer les circulations, rampes, amphithéâtres, bancs et balcons. Ce socle paysagé permet une appropriation de l’espace public et collectif.
    Le pôle Molière est innovant par la conception bioclimatique permettant de réduire les besoins en énergie pour atteindre les performances de niveau passif (besoins en chauffage < 15 kWhep/m².an) selon les modes de calcul du PassivHaus allemand. Les bâtiments produisent plus d’énergie qu’ils n’en consomment grâce à l’installation de 450 m² de panneaux solaires photovoltaïques mis en scène symboliquement sur une toiture « parasol ».
    - Certifié « HQE » conception par CERTIVEA
    - Prix spécial gestion énergétique du conseil général 78 dans le cadre du palmares CAUE 2015
    - Lauréat prix spécial MUZZZ ArchiDesignClub Awards
    - Lauréat appel à projet BEPOS « ADEME 2012 »
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