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  • 06 MARS : ILE DE FRANCE / YVELINES / SAINT QUENTIN EN YVELINES (78)

    Visite du site : Le Vélodrome National

    Construction d’un vélodrome de 5 000 places (jauge olympique), comprenant une piste de 250m, des locaux pour sportifs et public, le nouveau siège de la Fédération française de cyclisme, un salon olympique, des hébergements, des stationnements, une piste de BMX et un espace polyvalent.
    Un pôle sportif de niveau international
    Pierre angulaire du centre sportif, le vélodrome peut accueillir jusqu’à 5 000 personnes.
    Il est doté de la première piste au monde de 250 mètres de long sur 8 mètres de large, avec un rayon constant de 23 mètres. La piste a été conçue par Ralph Schuermann, l’un des plus grands designers de pistes au monde.
    L’équipement héberge également le siège de la Fédération Française de Cyclisme. Au total, 2 300 m2 de bureaux sont disponibles pour la FFC au sein du vélodrome.
    Par ailleurs, juste à côté du vélodrome se trouve le stadium de BMX, la première piste couverte en Europe continentale. Elle est constituée de deux rampes de départ contiguës (5 et 8 m de hauteur) et de deux lignes droites dédoublées permettant de proposer deux niveaux de difficultés (pratique loisir et haut niveau). Les trois virages, ainsi que les deux dernières lignes droites sont mutualisés. Une piste d’entraînement au sprint complète la piste de compétition.
    Enfin, le site dispose également d’une résidence et d’un restaurant pour accueillir les sportifs de haut niveau et leurs entraîneurs.
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  • 13 MARS : BOURGOGNE / CôTE D'OR / CHENOVE (21)

    Visite du site : Le Centre Culturel « Le Cèdre »

    2 chantiers en un même lieu :

    Outre la construction du bâtiment, ce chantier est également concerné par un autre chantier adjacent à celui-ci: l'aménagement urbain de la ZAC centre-ville avec notamment la création d'une place en parvis du centre culturel. Ce chantier est géré par une autre maîtrise d'œuvre, et par d'autres entreprises.

    HQE/ performances :

    Le projet a été conçu et se construit selon une démarche de Haute Qualité Environnementale (HQE), qui se soucie de préserver à la fois l'environnement et l'être humain dans toutes les étapes de la vie d'un bâtiment.

    Parmi les cibles choisies, on peut citer:
    - La gestion des énergies et de l'eau avec notamment un système de rétention d'eau pluviale en toiture et sous le trottoir côté tramway.
    - Le confort acoustique avec une étude approfondie du bâtiment en amont, et une mise en œuvre soignée en cour de chantier,
    - Le confort visuel avec un travail sur l'apport optimal (et la maitrise) de lumière naturelle
    - Un chantier à faible impact environnemental visant à minimiser ses nuisances tant pour le personnel des entreprises du chantier que pour le voisinage et l'environnement naturel.
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  • 20 MARS : CHAMPAGNE ARDENNES / CHAMPAGNE / REIMS (51)

    Visite du site : Les Archives Départementales

    Nous voulions à tout prix, vu la taille et l’impact sur le site, que le projet renvoie à plusieurs lectures, qu’il raconte des choses différentes en fonction de l’éloignement ou du rapprochement, que l’on découvre des éléments différents, des sensations multiples.

    Profitant d’un site en pente douce, le bâtiment est posé de manière à ne pas le dénaturer, ni le charger. C’est une ligne que l’on découvre depuis le fond de scène. Les visiteurs empruntent un parcours qui progressivement laisse place à la rampe d’accès.

    L’accueil est un intermède avant l’ouverture vers le jardin intérieur. L’entrée met en scène l’organisation fonctionnelle du bâtiment que l’on aperçoit par la transparence du patio. Les charmes des matières brutes (verre, métal et béton lasuré brun doré) révèlent la dimension de l’œuvre du temps et de ses patines.

    Par la révélation de leurs richesses, leurs textures et leurs vibrations, ces matières industrielles y gagnent une poésie. Un raffinement esthétique qui, poussé au bout de sa logique et mis en œuvre avec soin, confère au bâtiment sa cohérence et son identité.
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  • 25 MARS : BRETAGNE / ILLE ET VILAINE / SAINT MALO (35)

    Visite du site : La Médiathèque et Cinéma d'Art et d'Essai

    L’implantation de la médiathèque et du cinéma d’art et d’essai de Saint-Malo est stratégique et emblématique : à la fois au centre géographique de la ville et sur l’axe historique qui relie la nouvelle gare à la ville et à la mer. Cette situation exceptionnelle en fait le premier élément fort de la ville depuis la gare.

    Il appelle une réponse architecturale et urbaine originale, contemporaine, à la hauteur des enjeux liés à l’achèvement d’un nouveau cœur de ville. Un « bâtiment-esplanade » est proposé voué, d’emblée, à devenir l’icône culturelle de Saint-Malo.

    Cet ensemble poétique associe en une seule écriture, une seule esthétique, les espaces intérieurs et les espaces extérieurs, le construit et l’habité. Les activités quotidiennes, les animations culturelles, les évènements exceptionnels, sont mis en résonance dans un lieu unique, démultipliant l’attractivité de l’équipement et du site, le jour et la nuit, tout au long de l’année. Il est à la fois contextuel et autonome.

    Contextuel dans sa participation à la lecture et à la structuration de l’axe malouin. Autonome dans sa réponse architecturale et dans l’identité forte qu’elle lui confère, reconnaissable immédiatement dans son image médiatique. Le projet est constitué d’une double vague qui met en mouvement l’esplanade de la gare. L’axe malouin, emblématique de l’ouverture de la ville vers la mer, est valorisé par un axe urbain vitré séparant la médiathèque des salles de cinéma.

    Les deux pôles culturels sont recouverts de toitures végétales et reliés par un long ruban aérien recouvert de cellules photovoltaïques. Le chauffage est puisé dans le sous-sol, par géothermie. Certifié Norme NF Bâtiment Tertiaire démarche HQE, le projet est également labellisé THPE ENR.
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  • 01 AVRIL : PAYS DE LA LOIRE / MAINE ET LOIRE / LA MEMBROLLE SUR MAUMENéE (49)

    Visite du site : SA BOUVET

    Cette usine regroupe l’ensemble des unités de fabrication des établissements BOUVET (Menuiseries mixtes, PVC et alu, Fermetures), jusque là réparties sur 3 sites de l’agglomération angevine. Elle est symbolique, dans sa dimension architecturale et sa technicité, de la volonté de cet industriel de s’inscrire dans une double démarche d’INNOVATION et d’ENVIRONNEMENT.

    Les bâtiments sont édifiés en structure mixte (poteau voile béton / charpente lamellée collé), et sont revêtus de plusieurs types de matériaux selon leur fonction et leur localisation (bardages métalliques, stratifiés et bois massif). Exactement dans le même esprit que les gammes de produits BOUVET, où conjuguer les différents matériaux en fonction de leurs qualités intrinsèques est devenu le leitmotiv premier de cette entreprise innovante.

    Les couleurs des différents matériaux ont été sélectionnées de manière à s’intégrer harmonieusement avec les tonalités dominantes du paysage environnant. La toiture est réalisée en membrane gris clair. Les menuiseries, représentatives de l’offre produit Bouvet (mixtes, PVC, aluminium) sont de teinte coordonnée aux différentes façades.

    Une attention particulière a été apportée à l’intégration dans le site (choix d’essences régionales pour les arbres hauts jets, plantations arbustives sur plus de 15 hectares). A l’intérieur de bâtiment administratif, deux patios paysagers apportent lumière naturelle et ambiance végétale, pour le plus grand confort des salariés.
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  • 03 AVRIL : RHôNES ALPES / RHôNE / DECINES (69)

    Visite du site : Centre National de la Mémoire Arménienne

    Sur un terrain de 2000 m², le bâtiment du CNMA développe 770 m².

    Il associe une composante culturelle (un espace muséographique et une médiathèque) avec un équipement pour la vie associative (un restaurant et des salles banalisées).

    L’implantation prend en compte la construction d’une extension future (une salle polyvalente) dans la partie Sud. Le site du projet appelle une réalisation toute à la fois ouverte sur la ville et sachant être le reflet contemporain d’une culture et d’une civilisation ancestrale.

    Soucieux d’une architecture simple et lisible, nous avons organisé deux volumes sur deux niveaux.
    - La « lame » d’activités, volume rectiligne et ouvert sur la rue.
    - La « lanterne », développe verticalement l’espace d’exposition du hall et exprime la fonction muséographique à l’échelle du bâtiment. Ce dispositif concentre la lumière au cœur du projet, c’est aussi un signal visible dans le paysage urbain de ce nouveau quartier.

    Conscient de la nécessité de faire référence à la culture arménienne sans tomber dans un plagiat historique et arbitraire, ou dans une référence trop appuyée à l’histoire (rôle réservé aux monuments), nous proposons une approche plus fine, un trait d’union plus sensible et allusif avec ce qui est l’une des expressions les plus évidentes d’une culture, sa graphie.

    Nous l’avons donc introduite dans les murs de l’édifice, dont un seul matériau règle la totalité de l’expression du bâtiment.

    Ainsi, les panneaux des façades en béton seront réalisés à partir d’un moule reproduisant en creux des motifs crées à partir de l’écriture arménienne, chaque lettre utilisée étant volontairement altérée, marquée.


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  • 08 AVRIL : BRETAGNE / FINISTèRE / BREST (29)

    Visite du site : Le Campus des Métiers

    Le campus s'installe sur un vaste terrain de 10 hectares présentant un important dénivelé de 18 mètres : ces caractéristiques guident l’implantation des volumes, qui s'appuie sur le vallonnement du terrain et sur la trame des haies bocagères existantes pour permettre une insertion harmonieuse du campus dans le paysage. Les bâtiments se distribuent « en peigne » de part et d’autre d’une rue centrale, appuyée sur la haie bocagère traversant le terrain du nord au sud. Véritable promenade couverte, cette rue crée aussi une galerie de visite du CFA, rythmée par les halls des différentes filières conçus comme des vitrines, et par des espaces détentes régulièrement aménagés. Le choix des matériaux vient renforcer l’insertion paysagère du campus : bardage de bois brut de type red-cedar pour les bâtiments d'enseignement, bardage ondulé laqué irisé pour les ateliers, tandis qu’un système de récupération des eaux pluviales vient mettre à profit la pente du terrain.
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  • 10 AVRIL : MIDI-PYRéNéES / TARN / ALBI (81)

    Visite du site : Le Grand Théâtre d’Albi

    PLUS DE PLACES

    Le Grand Théâtre d’Albi va transformer le quartier non seulement du point de vue de l’urbanisme, mais aussi du point de vue de son rayonnement culturel. Cet édifice s’inscrit comme un symbole architectural remarquable à la périphérie du centre historique classé.
    Nous avons privilégié la présence du Grand Théâtre par rapport à celle des cinémas afin d’organiser autour du lui un réseau d’espaces publics et d’équipements culturels dont il sera le coeur.
    Le long de l’allée de la Culture vont s’égrener, en chapelet, différents espaces publics, ponctuant une promenade allant de la cathédrale jusqu’au grand parc public Rochegude. Ce parcours commence par la création d’un square au niveau du boulevard Sibille, ensuite s’ouvre sur la place du théâtre, puis se prolonge sur la place des cinémas devant l’Athanor pour enfin déboucher sur le jardin public. C’est l’idée d’une « promenade urbaine » animée par la succession, la juxtaposition et l’interaction de plusieurs bâtiments culturels.
    Nous avons choisi de clairement identifier ces différents édifices par des lieux qui leur offrent une adresse dans la ville. En conséquence, le bâtiment de l’Athanor conservé est remanié pour créer l’entrée des cinémas. Il devient la partie visible de cet « iceberg » présentant un grand foyer, peut-être quelques boutiques et un café au niveau de la place, pour ensuite descendre en sous-sol, là où se situe l’ensemble des salles de projection. Ainsi, le socle de la place du théâtre est habité par le complexe cinématographique. Cette disposition nous permet de libérer l’ensemble de l’espace public et de l’ouvrir généreusement à l’activité urbaine et à la population.
    La géométrie extrêmement simple du théâtre permet une implantation le long de l’avenue du Général de Gaulle dans un esprit de continuité urbaine et de proximité avec la médiathèque, tandis qu’elle dégage côté allée de la Culture deux places plus ou moins triangulaires. Ces deux espaces publics nouveaux dans le tissu urbain et disposés autour du théâtre vont, pour l’un, s’ouvrir vers le centre historique et pour l’autre, vers le quartier.
    Nous avons recherché un volume compact afin que la dimension du théâtre puisse s’intégrer au mieux dans son environnement urbain. Nous avons recherché aussi des principes fonctionnels simples, directs et immédiats, en particulier l’accès par l’espace public des camions de plein pied avec le back stage et la scène.

    PLUS DE PLACES
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  • 15 AVRIL : PROVENCE-ALPES-CôTE-D'AZUR / ALPES MARITIMES / NICE (06)

    Visite du site : GALLIENICE

    Le programme :

    Le projet a pour objectif la réalisation de 138 logements, 917m² de commerce et 173 places de stationnement. 50% de la SHON totale est destinée à des logements sociaux.
    (74 logements sociaux)

    Le quartier est en perte de vie, il est donc nécessaire de rendre une valeur d’usage à l’espace urbain et d’inventer des paramètres pour l’appropriation de l’espace privé et public. Notre projet doit constituer un espace ouvert, perméable visuellement. Le cœur d’îlot en continuité de l’espace public, permet un dialogue entre le projet et son environnement immédiat, avec un enjeu clair. Faire avec du logement dans un contexte difficile, un îlot « figure de proue », devant à la fois réconcilier une structure urbaine fragmentée et fragilisée et donner à ses futurs habitants toutes les qualités de vie et d’usage possibles.

    La volumétrie :

    Affronter sans crainte la densité d’un grand volume urbain, c’est le sculpter d’interstices qui engagent le dialogue avec la ville, le creuser d’un grand cœur d’îlot végétalisé mais aussi tenir, par un grand épannelage décroissant vers le Sud, le rapport aux voies et à l’espace public en général en effaçant l'angle Nord-Ouest et en éloignant les logements de la voie rapide.

    L'alignement urbain est constitué par le socle de commerce et le jardin suspendu.

    Ainsi, du Nord vers le Sud, nous allons passer du R+7 (avenue du XVe Corps) au R+4 en cœur d’îlot.
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  • 29 AVRIL : AQUITAINE / GIRONDE / LORMONT (33)

    Visite du site : Le Collège Montaigne

    La re-construction du collège Michel de Montaigne est un des éléments forts du Grand Projet de Ville des Hauts de Garonne. Il est labélisé « Ambition Réussite » et dispose à ce titre de moyens renforcés pour accompagner les enfants dans leur apprentissage, au passage à l’adolescence.

    - Lien nature-projet :
    L’esprit du parc pénètre la parcelle du collège, poursuivant son ambiance arborée, fédérant une atmosphère végétale dominante. Ce paysage est partie intégrante du projet au même titre que le bâti, l’air et la lumière. Le parc, le plateau sportif, la cour, le préau… Les séquences se succèdent pour composer un tout, un ensemble cohérent.

    - Scénographie – Glissement des volumes :
    Les bâtis sont positionnés en continuité du ruban de clôture. Le parvis est à la convergence des parcours, une ramification des cheminements du parc. Ce dispositif marque l’entrée par glissement naturel, en continuité de territoire, sans rupture. Tout est mis en œuvre pour orienter subtilement le passage du parc au collège : Ce parvis devient rue du collège, se prolonge entre administration et externat, jusqu’au cœur de la cour.

    - Démarche environnementale :
    Le projet s’inscrit dans une démarche de développement durable forte. Créer un cadre bâti de qualité, favorable à la préservation des paysages, des matières, des énergies et ressources naturelles.

    - Principe constructif : L’édifice semble ancré dans le sol. Il prend naissance au gré des divers déblais remblais, s’appuyant sur les murs de soutènements en béton armé qui retiennent les terres et terrassements. L’ensemble des bâtiments est construit selon un système poteau-poutres en béton supporte une table d’assise, un plateau, sur lequel viennent se poser les volumes de bois.
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