CALENDRIER

Visite du site : La Maison du Bâtiment d’Indre-et-Loire

Le projet concerne la restructuration complète de la Maison du Bâtiment.
1. Reprise du bâti par création d’une enveloppe thermique pour bâtiment BBC effinergie Rénovation
2. Extension aux 1er et 2ème étages (13.50m2 par niveau)
3. Mise en conformité aux règles de sécurité pour bâtiment tertiaire, Code du Travail

ETAT DU BATI

Le bâtiment construit dans les années 70, présente un parement en béton préfabriqué non isolé, menuiserie aluminium simple vitrage, et chauffé par des radiateurs électriques. Ce bâtiment est particulièrement énergivore.
Nous avons donc opté pour une reprise complète de l’enveloppe du bâti ayant pour but de créer une peau isolante, de redonner à ce bâtiment une architecture contemporaine en utilisant des matériaux assurant une pérennité à l’ouvrage.
La masse du bâti créera deux volumes de couleur différente : un enracinement de couleur soutenue, un rapport au ciel plus clair.

CHOIX DES MATÉRIAUX

Les matériaux assureront la pérennité au bâti tout en utilisant un vocabulaire contemporain.
• Vêture céramique au rez-de-chaussée de teinte acier Corten
• Vêture céramique anthracite et blanche valorisant les volumes
• Menuiseries aluminium à ouvrants cachés de teinte gris anthracite
• Vêture zinc quartz en remplacement de la couverture ardoise existante
• Reprise de l’ensemble de l’étanchéité du bâtiment.

Visite du site : La VILLA MÉDITERRANÉE

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UN BÂTIMENT À L’ARCHITECTURE AUDACIEUSE
 
Ce bâtiment a fait l’objet d’un concours remporté en 2004, par les architectes Stefano Boeri, Ivan Di Pol et Jean Pierre Manfredi.

Les travaux ont démarré en 2010. Le parcours de Stefano Boeri, acteur engagé de la scène politique et culturelle italienne, professeur d’urbanisme, s’inscrit dans une tradition humaniste qui le rend particulièrement sensible aux transformations en cours dans le monde méditerranéen.

« La première intention du projet était de faire pénétrer un morceau de mer à l’intérieur du bâtiment... C’est l’élément principal d’union qui oriente, anime et organise le projet tout entier », expliquent les architectes.

Ceux ci ont conçu un édifice hors normes qui développe ses espaces sur et sous la mer et se distingue par une spectaculaire avancée en porte-à-faux de 40 mètres, au-dessus d’un bassin de 2 000 m2. Le niveau supérieur, dont le toit culmine à 19 mètres au-dessus du bassin, accueillera des zones d'exposition d'environ 1200 m2 entourées et entouré d’un belvédère en libre-accès.

Sous le bassin de 2,25 mètres de profondeur, se trouve la base du bâtiment. Dans l’agora située dans ce niveau, un amphithéâtre permet d’accueillir spectacles, conférences et projections de films.

A l’extérieur, la peau de béton, percée d’ouvertures, a été pensée comme un ruban parcourant tout l’édifice, de sa façade arrière à son toit, en passant par la face inferieure du porte-à-faux.

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Visite du site : La Médiathèque de Dinard

L’aménagement du site a fait l’objet d’un concours approuvé par le Conseil Municipal.
A la lisière du centre historique et balnéaire, et à l’orée de l’emprise de son extension urbaine, la requalification de l’espace NEWQUAY a pour objet de réorganiser la ville par un nouvel équilibre architectural et urbain entre le côté mer et l’intérieur des terres. Le programme général vise à recréer un centre vivant, un morceau de ville où les dimensions « résidentielle », « commerciale » et « culturelle » créeront la multiplicité des activités propices à l’échange et au développement. La médiathèque prendra dans ce cadre la place importante qui doit être la sienne, à disposition du plus grand nombre.
La Médiathèque, équipement public, est implantée sur le parcellaire (k929 et k930) exclusivement réservé pour cette construction conformément à la promesse de vente entérinée par la délibération du conseil municipal en date du 27 mai 2007. La localisation sur le plan global respecte les dispositions validées lors du concours initial. La médiathèque prendra place au sein de ce nouveau quartier avec une situation privilégiée face à la rue de la Corbinais et à la rencontre des rues qui descendent vers le centre de Dinard. Le bâtiment se détachera sur l’ensemble par son architecture « dynamique » habillée de verre transparent et opaque, en contrepoint de la composition architecturale des immeubles de logements, de nature plus « solide » et « statique ». La construction suit une géométrie triangulaire déterminée par la rue de la Corbinais à l’Est d’une part, la future liaison automobile N.E – S.O en façade Sud-est d’autre part, ainsi que par l’esplanade piétonnière au Nord (« Place culturelle), mettant en relation l’ensemble des futurs jardins intérieurs, depuis l’extrémité Sud du Site jusqu’à la rue de la Gare.
Composé horizontalement, sur 2 niveaux, l’édifice projette son grand toit incliné vers les rues adjacentes, et en contrepoint, deux mâts de lumière indiquent au public la présence de ce nouvel équipement indispensable au progrès de la culture.
L’entrée située à la pointe Ouest, rue de la Corbinais, donne accès à un grand hall d’accueil à partir duquel sont distribués, de plain pied, l’Espace « Adultes », l’Espace « Expositions » également accessible directement de l’extérieur, ainsi que l’Atelier et les locaux administratifs. Un grand escalier central ouvert, ainsi qu’un ascenseur, conduisent à l’étage où sont installé l’Espace « Jeunesse », le magasin (fonds documentaire) et différents locaux secondaires. Le vide de la travée centrale mettra en communication les 2 niveaux, offrant une perception d’ensemble et des perspectives ouvertes et variées dans la Médiathèque et vers la ville.

Visite du site : Le Collège Pierre-Gilles de Gennes

Le collège Pierre-Gilles de Gennes à Frignicourt est conçu comme un laboratoire de mise en situation des principaux enjeux liés à l’environnement dans l’aménagement du territoire et des bâtiments. Le collège est un support démonstratif au profit d’une « pédagogie environnementale » : il propose une lecture et une appréhension sensible de la gestion des ressources en lien avec les comportements et les pratiques des utilisateurs (lumière, air, énergie, eau et biodiversité).
La particularité de cet équipement réside dans les aménagements paysagers de ses abords, la grande serre bioclimatique distribuant l’ensemble des locaux, et la fonctionnalité des salles d’enseignements.
Dans le cadre d'une démarche environnementale globale, privilégiant recherche et innovation aux grilles d’évaluation des certifications, les choix architecturaux assistée d’une ingénierie approfondie (Ingénierie au feu, Thermique dynamique,…) ont permis de valoriser la simplicité des dispositifs structurels et techniques au profit de l’usage et des ambiances.

Visite du site : SMAC
Scène de Musiques Actuelles de la ville de Nîmes

«Paloma» ? Drôle de nom pour une blatte en tôle à demi écrasée, en arrêt sur une aire de
béton face à l’hyper et au McDo, là-bas dans la banlieue de Nîmes. Peut-être à cause de
Coucouroucoucouuuu»…
Car on chante ici, et les guitares aussi. A fond. Paloma est une Smac, acronyme labellisé par
le ministère de la Culture pour «salle de musique actuelle».
Entendez: décibels à tous les étages, sur près de 6 000 mètres carrés! Dans la grande salle (mille
trois cents fauteuils), dans le club (trois cents debout), dans chacun des sept studios de répétition
et d’enregistrement.
Les loges, les chambres des artistes en résidence, le petit salon avec baby-foot et fl ipper d’un autre
âge, le patio restent au calme. Secret de ce tour de passepasse acoustique qui permet aux uns de
jouer pendant que les autres papotent: sous les pans coupés de la carapace du bâtiment, chaque
élément — studios, salles, bureaux — est une boîte étanche bardée d’isolant, indépendante des
autres, suspendue en souplesse, d’où le son ne sort pas.
L’architecte Michel Bertreux, de l’agence Tétrarc, connaît son sujet. Il s’est déjà fait les
dents sur La Fabrique, l’échevelée Smac de Nantes. Il livre donc, à Nîmes, un bien bel outil pour
la musique.
Les musiciens ont apprécié les performances de l’objet, mais ses facéties aussi. Car l’archi moqueur, à son habitude, s’est permis des manières: un hall jaune vif comme une grotte taillée à la serpe, un patio intérieur habillé de sangles roses en bâche de camion qui frémissent quand le mistral s’y met, et, barrant la façade, un gros oeil cyclopéen vaguement vitreux, en plastique gonflé.

Gonflé, c’est le mot.

Luc Le Chatelier

Visite du site : ANTHEA / la salle de spectacle communautaire d’Antibes

Les Façades

Par leur forme et leur matière les façades soulignent la volumétrie et expriment les fonctions majeures de l'édifice et l'organisation des espaces. Le traitement des espaces, leur fonctionnalité, les ambiances lumineuses, acoustiques, thermiques et aussi visuelles sont servies par la qualité de l'enveloppe et exprimées par la composition des façades, dans la relation paisible du bâtiment à la ville.

L'image est volontairement majestueuse et emblématique d'un équipement culturel majeur. La ligne directrice du projet consiste en un ensemble bâti homogène, regroupant toutes les fonctions derrière une expression symbolique forte, non hiérarchisée. A la fois ouvert et accueillant au public par ses façades largement vitrées en rez-de-chaussée, et énigmatique par l'élégante carapace qui l'enserre et dissimule l'activité du lieu.

La façade entièrement en béton a une texture tantôt lisse et structurée, tantôt matricée. Inspirée des tentures de théâtre cette parure magnifie la matière et exprime toute la noblesse du matériau. Dans une unité de ton, l'ensemble varie au gré de la lumière plus ou moins rasante du jour ou de la nuit qui joue sur les lasures transparentes, brillantes ou mates, offrant au regard une vision en perpétuel mouvement.

La Salle de Spectacle

Le public pénètre dans une salle aux couleurs chaudes et contemporaines. La salle enchâssée dans une cloison claustra de bois, tel un moucharabieh, filtre le regard du spectateur dès son entrée dans la salle. On discerne la salle, on en perçoit le contour et les formes mais la découverte totale reste à venir. Guidé par un jeu de clair-obscur le public est accompagné par la lumière de la coursive périphérique qui ponctue et module les accès aux places. Passée cette première paroi, on pénètre dans une salle à l'ambiance chaleureuse dans laquelle les galeries latérales agencées telles des baignoires scindent l'espace et restituent une échelle plus intime. Les garde-corps sont soulignés de rouge sombre et participent fortement à l'ambiance de la salle tandis que le proscénium et le plafond tous deux de couleur sombre n'imposent pas leur présence et intègrent les équipements scéniques.

Pour rehausser l'éclairage d'ambiance provenant des coursives, un dégradé chromatique allant du jaune-orangé au rouge-brun rythme les galeries et habille le plafond. Les fauteuils crées pour la salle dans l'esprit des fauteuils club de salon composent un élégant tapis en dégradé́ de gris qui confère à la salle Audiberti son caractère unique.

Visite du site :

Le projet présenté ici, s’insère dans un contexte urbain archétype : une périphérie urbaine, un secteur tertiaire, une série « d’objets » posés çà et là sans continuum de morphologies, ni de style. Du « déjà vu », du déjà vécu… Un paysage lisse, ordinaire et sans relief. Si l’on s’interroge sur cette collection bâtie, témoignage direct et instantané de notre temps, on est en droit de se demander si, finalement, la beauté n’est pas légitimement attendue en ce lieu si standard. C’est l’intention que nous proposons ici. Un bâtiment sculpture, à la croisée du monde de l’art et de la taille urbaine, une référence à Donald Judd ou Robert Morris, une installation permanente, qui questionne son environnement. Ici, pas de stigmates d’un style copié collé, d’un énième bâtiment lambda, aux caractéristiques si évidentes et si anesthésiantes, mais une énigme, une interrogation, une sculpture monumentale minimum, et non minimaliste, détachée des effets de mode. Intemporelle, parée pour l’avenir, sans risque de ringardisation…

Son gabarit et sa forme sont issus de la contrainte programmatique et contextuelle. Tout en respectant le seuil en deçà du classement IGH et les hauteurs utiles demandées, le projet exploite au maximum la hauteur du volume disponible. Cela permet ainsi de dégager de la surface au niveau du rez-de-chaussée et un alignement au futur bâtiment voisin, « Le Plazza », en créant un espace urbain qualifié, au sud, à l’abri des vents, prenant la forme d’une parcelle de vigne et témoignant ainsi de l’ancrage du Rectorat de l’académie de Dijon dans une région au patrimoine viticole et au terroir mondialement célèbre. Ce lopin de terre planté génèrera de la biodiversité et accompagnera, avec ses couleurs, les futurs utilisateurs au fil des saisons. Cette parcelle de vigne introduit un parvis minéral situé au cœur du bâtiment. Ce parvis est un espace polyvalent permettant une prolongation en extérieur, d’activités implantées en rez-de-chaussée (salle de cérémonie et salle d’activité).

Deux écritures de façade cohabitent sur ce projet. La première est composée de panneaux de BFUP, Béton Fibré à Ultra Hautes Performances. Il s’agit d’une façade protectrice et non défensive. De larges bandeaux vitrés viennent zébrer cette carapace minérale, et lui confère un champ de vision panoramique depuis l’intérieur des bureaux. La seconde est d’un caractère plus chaleureux, et située en cœur de parcelle, avec une orientation sud / sud ouest. Il s’agit là d’une résille composée de brise-soleil en aluminium dont le dimensionnement et l’orientation sont induits par façade et par niveaux, permettant de se prémunir efficacement des rayonnements solaires (voir note technique).

Cette partie de l’édifice en cœur d’îlot, a été « taillée verticalement » de manière à permettre une diffusion plus aisée de la lumière naturelle au sein des locaux.

Visite du site : L'Amphithéâtre Leclair de Sciences Po Lyon

Il s’agit de la création d’un amphithéâtre d’enseignement de 247 places à l’intérieur du bâtiment existant, ainsi que des locaux annexes (bureau pour les conférenciers, sanitaires, dépôts, locaux techniques).
Le caractères des bâtiments existants est conservé : les menuiseries extérieures remplacées à l’occasion du projet ont les mêmes modénatures qu’initialement. Seule la façade Nord-ouest du bâtiment accueillant l’amphithéâtre est partiellement transformée avec la modification de l’accès principal et l’ajout d’un monte-handicapés. L’habillage du monte-handicapés et le garde-corps de l’escalier d’accès sont réalisés de verre sablé, ce qui permet de marier ce nouveau volume avec les bâtiments anciens du site. Les places accessibles aux personnes à mobilité réduites sont situées au 1er rang. De même, deux sanitaires accessibles sont créés, ainsi qu’un monte-handicapés reliant l’espace extérieur à l’amphithéâtre.
Avec la forme des gradins, la salle est conçue pour répondre aux exigences en termes de champ visuel. Le garde-corps de la mezzanine réalisé en verre permet au 1er rang de conserver le champ visuel. La volumétrie de la salle (forme des plafonds, des cloisonnements et des doublages), la mise en œuvre de matériaux absorbants (plafond en toile tendue perforée avec un isolant acoustique, parois avec perforations) participent à la qualité de la salle en termes d’intelligibilité.

Visite du site : La Reconstruction de l’EHPAD « La Bartavelle » sur le site du CH de Saint-Jean de Maurienne (73)

Les contraintes fortes du terrain enclavé dans le Centre Hospitalier, nous ont amenés à développer des volumétries permettant d’articuler le bâtiment par rapport à son environnement mais également d’imaginer une architecture affirmée dans un paysage grandiloquent avec la présence imposante de la montagne au Nord.
C’est ainsi que nous avons voulu unifier le matériau bois des façades verticales avec les sur-toitures recouvrant les couvertures du bâtiment, créant ainsi un volume unique, plus compact, accentué par la destructuration des formes de pente de la couverture reposant sur un socle véritable support de l’édifice dans l’environnement urbain.
Notre volonté est bien de retrouver, dans un vocabulaire contemporain, l’image des architectures traditionnelles des pays de montagne.

Visite du site : Aeroscopia, Musée aéronautique

INSCRIPTIONS CLOSES : PLUS DE PLACES

La première ambition de l’agence Cardete Huet Architectes a été d’installer un dialogue respectueux avec le site et surtout avec l’impressionnante usine d’assemblage de l’A380 longue de 500 m de long et calée à une altimétrie de 50 m.
Un fond, un creuset, un cadre incontournable au futur musée Aeroscopia de Blagnac et Toulouse métropole : Toulouse c’est la terre d’accueil de l’aéronautique européenne et mondiale ; Airbus y a élu domicile comme l’ensemble de ses usines d’assemblage A320, A330, A340, A350 et A380.
C’est donc au cœur d’un immense territoire dédié à l’aéronautique commerciale (Aéroport Toulouse Blagnac : 7 millions de passagers) comme industrielle avec Airbus qu’Aéroscopia tout naturellement s’implante.
Aussi, face à l’usine d’assemblage de l’A380, l’usine JL LAGARDERE, Aeroscopia tisse un dialogue subtil, tout en courbe, souple : il répond à la longue rectitude de l’usine comme son mutisme de zinc noir, il fait contrepied au miroitement incessant de la parure d’inox des longues portes de l’usine.
C’est donc par ce dialogue à la fois discret mais combien présent que se règle la singularité des usages.
Des lignes droites, des angles au service de la rationalité industrielle...des courbes, de la souplesse pour l’accueil touristique culturel.
Par ce dialogue singulier Aeroscopia se revendique comme un espace culturel dédié au patrimoine dont la dimension ludique est confortée par sa forme oblongue.
Forme étonnante, inattendue mais en tous points contrôlée, revêtue de métal noir, elle se love en arc de cercle autour du bassin transformé en « place d’eau », à la fois miroir de l’édifice et espace de déambulation végétalisé qui anime le parcours des aires d’expositions extérieures.
Ce premier tronçon de bâtiment laisse augurer l’amplitude du projet dès lors que la deuxième tranche confortera et illustrera le projet culturel dans sa complétude.
Ce projet met en scène deux bâtiments, en premier lieu l’aire d’exposition, 6 000m2 dédiés à la présentation des avions (Airbus A300, Concorde, Supper Guppy et bien d’autres...) dont l’accès est réglé par le bâtiment d’accueil (1 000m2) qui focalise aussi bien évidemment le départ du circuit de tourisme industriel vers les différentes chaines d’assemblage d’Airbus (A320-A330- A350-A380).

INSCRIPTIONS CLOSES : PLUS DE PLACES

12ème Fête des Archi's / Paris

Le CLub Prescrire organise la 12ème Fête des Archi's aux Voûtes, Frigos de Paris.

Evénement Gratuit sur inscription de 19h à Minuit.
Au programme : Cocktail dînatoire, échanges professionnels, musique, jeux et de nombreux lots à gagner.

Inscriptions ouvertes jusqu'à 18h ce jour ou présentez vous directement au 19 Rue des Frigos 75013 Paris avec une carte de visite.

A ce soir pour faire la Fête !

Visite du site : Maison du tourisme

Située en secteur sauvegardé, au cœur du « Bouchon », centre historique de la ville de Troyes, la Maison du tourisme comprend la réhabilitation, avec restauration, d’un bâtiment existant et une extension.
Le projet entre rue et cour, s’inscrit dans un tissu urbain caractéristique de l’histoire de la cité, issu d’un parcellaire longitudinal-type du XIIIe siècle. L’ensemble s’ouvre sur la place de l’Hôtel de Ville et participe à sa composition. Le nouveau bâtiment s’installe à la jonction de deux cheminements. Ses façades viennent accompagner la percée réalisée en 1936 lors de la création de la rue perpendiculaire à l’Hôtel de Ville. Les détails de cette extension en pan de bois s’inscrivent dans une écriture contemporaine.
Le projet répond à trois principes principaux: respect, mise en valeur et restitution des façades selon l’époque prédominante, réversibilité des aménagements et fidélité au parcellaire.
L’extension permet de répondre aux exigences règlementaires d’accessibilité pour ce bâtiment recevant du public...