CALENDRIER

Visite du site : Technocampus Ocean


Le bâtiment Technocampus Ocean est organisé en fonction de 3 typologies d’espaces : zones tertiaires, zones interfaces et halles techniques.

Les halles, ateliers et laboratoires d’essai, essai au feu, essai mécanique et de soudage sont regroupés au Nord de la construction et s’étendent d’Est en Ouest. Ce regroupement permet d’organiser un dispositif constructif et technique adapté pour les ateliers.

La partie tertiaire se développe au Sud et s’étend d’Est en ouest face aux ateliers afin d’être
placés en étroite relation. Le mode constructif et les hauteurs utilisées pour les plateaux tertiaires sont répétitifs et évolutifs. Les locaux tertiaires sont rationnellement organisés sur deux niveaux au-dessus des stationnements. Des patios de pleine terre végétalisés et des atriums ponctuent régulièrement les espaces pour apporter la lumière naturelle au cœur du bâtiment mais
aussi pour identifier les zones. Ces petits atriums, avec un vide sur l’étage, s’implantent
stratégiquement aux points de liaisons verticales, aux endroits de désert des ascenseurs et escaliers.

La zone d’interface, un espace hall/accueil, amphithéâtre, cafétéria, se présente comme la vitrine de l’établissement avec un vaste atrium central. Cette zone est mise en avant par un volume plus haut pour renforcer sa lisibilité.

Le regroupement typologiquee des espaces favorise l’évolutivité de la plateforme.
L’opportunité du terrain en pente a conduit à loger un parc de stationnement semi enterré sous le bâtiment.

La plateforme Technocampus Ocean est un bâtiment dont les recherches sont en majorité en relation avec le domaine de la mer.

Différentes sociétés privées et des écoles académiques ainsi que l’IRT Jules Verne partagent des moyens de recherche dans le domaine maritime. La façade principale exploite ce thème marin et imprime sur des cassettes métalliques la photographie de vagues reproduite à grande échelle.
Les autres parties des façades sont majoritairement composées de verre et de bois pour former des brise-soleil et les habillages des halls.

Visite du site : Le Campus de la Timone

Le futur pôle d’enseignement mutualisé du Campus de la Timone à Marseille réveille le site avec ses façades entièrement revêtues de panneaux en pâte de verre jaune teintée dans la masse...

Situé à l’entrée du Campus, ce bâtiment sera sa tête de proue, son signal, malgré ses dimensions modestes.
Mais il ne s’agit absolument pas d’un geste gratuit. Le projet réinterprète le langage architectural des grands vaisseaux d’enseignement de René Egger et rend hommage à son travail.

Cette mosaïque jaune s’inspire en effet de la couleur des allèges du bâtiment principal d’enseignement proche, une similitude qui s’exprime également avec le béton brut des poteaux oblongs du hall vitré traversant, rappelant l’écriture architecturale de René Egger.

Visite du site : l'Institut de recherche technologique B-COM

Une ponctuation aléatoire de châssis en creux anime le lissé des façades par un jeu d’ombre et de lumière aux différents étages.

Le niveau 5 forme un attique libérant une large terrasse de convivialité sur laquelle viendront s’organiser les espaces de détente et de sports.

Le volume en R + 4 orienté à l’Ouest s’écrit comme élément signal et identifiable du projet, cette orientation ensoleillée est contrainte par la circulation importante depuis la pénétrante Nord. Cette réflexion associée à l’idée de signal nous a fait opter pour une double façade de verre répondant au confort acoustique et énergétique, grâce au vide d’air circulant verticalement entre les deux parois. Cet espace intégrant des stores permet en face intérieur de gérer la signalétique par un système logoté de vitrophanie. L’ensemble sera éclairé par des leds de couleur à l’image d’un gigantesque écran d’animation, le bardage enveloppant cette paroi de verre est plus sombre que le volume R+5 il accentue l’effet d’imbrication des deux volumes, en harmonie avec le projet voisin.

Les éléments techniques de ventilation et climatisation sont intégrés dans le volume du 5ème étage. Ils s’effacent ainsi complètement dans l’architecture et permettent de qualifier le projet d’une cinquième façade.

le jeudi 25 juin 2015 se déroulera la 14e édition de la Fête des Archi’s sur le site de l’ENSA de Paris-Val de Seine, 3-15 Quai Panhard et Levassor-75013 Paris.

Ambiance Musicale, dansante, jeux, tirages au sort et de nombreux lots à gagner.
Votre soirée à partir de 19h.


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MERCI DE VENIR AVEC VOS CARTES DE VISITES À LA SOIRÉE.

Visite du site : L’Equipement associatif, événementiel et sportif

Le site possède de nombreuses qualités : sa proximité du centre ville, sa taille importante, ses accès qui en font un lieu potentiellement très bien desservi par tous types de transports.

Sa surface importante permet d’installer un projet généreux, dont on peut même imaginer des extensions dans le futur.
Cette surface permet également une grande flexibilité, où les espaces intérieurs peuvent aisément s’étendre dehors, tant pour des moments récréatifs que pour des prolongements extérieurs des évènements intérieurs.

Le parti pris a été de créer plusieurs volumétries distinctes et de taille raisonnable : les deux équipements principaux du projet que sont la salle des fêtes et le hall multifonctionnel ne sont pas abrités chacun dans une volumétrie unique, mais au contraire dans une volumétrie fractionnée en quelque sorte, qui va constituer justement cette progression harmonieuse depuis le tissu urbain environnant.

Au final, ce sont 11 volumes qui enveloppent le projet, et non pas seulement quelques uns qui auraient été disproportionnés par rapport au quartier. Ces 11 volumes réalisent une couture douce et harmonieuse, notamment avec les maisons qui se trouvent le long de la rue du Marché, et plus globalement l’ensemble du quartier.
En même temps, ils donnent à voir une écriture unitaire au projet car ils sont tous revêtus des mêmes principes de formes, de matériaux et d’ouvertures.

Le projet joue en permanence avec une double échelle : celle du fractionnement qui permet de s’installer en écho avec le contexte urbain, et celle de l’homogénéité aussi, qui permet de donner au projet une écriture forte et iconique.
La toiture de ces 11 volumes est toujours une toiture à deux pentes : Une inspiration toute simple qui reprend l’esprit des toitures que l’on retrouve aux alentours, mais en même temps, par son traitement architectural, une inspiration qui va donner au projet un esprit très sculptural, comme plissé, riche de reflets parce qu’il va vibrer avec la lumière.

Le résultat est un projet à la fois très contextuel par l’échelle de ses volumes, mais qui va en même temps donner une image très forte et expressive. Le plissé des toitures et la richesse de ces facettes va aussi conférer au bâtiment d‘ensemble une allure accueillante et bienveillante.

Visite du site : CENTRE D’AFFAIRES ET D’INNOVATION SOCIALE DU SARCUS


L’architecture du projet repose sur 3 idées majeures :

- première idée : l’expression d’un traitement architectural affirmé, en lien à la fois avec l’enjeu régional et économique du Centre d’Affaires, et avec l’environnement arboré exceptionnel du Parc HEBERT.
- seconde idée : favoriser par la conception du pôle auditorium – hall – restaurant, la synergie, la convivialité et les rencontres entre les différents acteurs et visiteurs du Centre.
- troisième idée : une façade publique très ouverte au Sud, avec un hall traversant qui centre l’accès principal vers la perspective du Parc, dans l’axe des vestiges du château Renaissance le SARCUS .

L’extension est développée essentiellement en rez-de-chaussée, sous la forme d’un vaste socle qui confère l’unité au projet. Ce socle est couvert par une toiture terrasse végétalisée, étendue en auvent devant le hall, le restaurant et l’auditorium.

Le traitement des façades tend à donner une grande unité à l’ensemble composé du bâtiment existant et de l’extension. La même technique d’isolation par l’extérieur et les mêmes panneaux de façade en fibre ciment gris sont employés sur les 2 parties. La modénature particulière en « dent de scie » des façades de l’ancien hôtel est conservée, pour donner du relief et de la profondeur derrière les bandes vitrées horizontales, traits d’union entre l’existant et l’extension. Ces bandes vitrées ont un rôle à la fois de garde-corps devant les châssis vitrés des bureaux, et de protection solaire au Sud. Leur teinte « opale », ou blanc translucide, contraste avec le gris en arrière plan des bardages et les vitrages semi réfléchissants des bureaux aux étages. Le résultat est un effet de profondeur de la façade et de reflets, en écho avec la structure des grands arbres environnants et leurs effets d’ombres dans les feuillages.

Au rez-de-chaussée les matériaux dominants sont le vitrage et le bois.
L’auditorium est clairement exprimé comme un grand volume fermé, revêtu de bois tant à l’extérieur qu’à l’intérieur, élément majeur du programme mis en évidence rue Ronsard et support mural des expositions dans le hall.

Au Nord l’ancien accès de l’hôtel, tourné vers un parking résidentiel rue Chateaubriand, est réduit à un accès de service et simplifié dans son expression en façade. La façade existante du rez-de-chaussée est restaurée dans ses parements d’origine.
Au Sud un parvis s’étire devant la façade depuis la rue Ronsard, et se prolonge par la terrasse du restaurant. Ce parvis piéton est abrité par un large débord de toiture en porte à faux.

Visite du site : B² Pôle BIOSCIENCES

Le bâtiment B² est un bâtiment de recherches en biosciences de plus de 11000 m², visant à rassembler au sein d’une même structure différentes plateformes de recherche afin de fluidifier leurs échanges et d’améliorer le rayonnement à l’international. Il est financé à hauteur de 42.8 M€ par la Région Haute Normandie, avec l’aide des fonds Européen FEDER, et est conçu en collaboration étroite avec les chercheurs et l’Université de Rouen.
Il s’agit d’un bâtiment de très haute technicité (salle blanche, L3, animalerie…), qui abrite également des espaces de réception permettant d’accueillir des conférences (salles de réunion, amphithéâtre…) Il est construit selon des normes HQE. Il vient s’implanter le long d’un axe Nord/Sud suivant le schéma directeur de l’université, marquant le renouvellement futur du campus Universitaire.
Le projet est marqué par les exigences de rationalité, de lisibilité et de flexibilité exigé par le programme. Il est composé dans la longueur en 3 trames desservies par deux circulations et des gaines techniques permettant d’assurer une innervation maximale en fluides : les bureaux sur la façade Ouest, les labos ne nécessitant pas de lumière naturelle et les réserves dans une trame centrale aveugle, et l’essentiel des laboratoires sur la façade Est.