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  • 09 SEPTEMBRE : CONGRèS MONDIAL TOITS ET MURS VéGéTALISéS DU 9 AU 13 SEPTEMBRE 2013

    L’effort constant de quelques acteurs depuis les années 90 et celui de l’ADIVET, associés à une prise de conscience grandissante des enjeux environnementaux, a abouti à ce que la France devienne un des premiers marchés mondiaux en ce qui concerne la végétalisation des toitures. La végétalisation des façades, de son côté, a pris son essor dans notre pays et se répand, au travers de toutes sortes de techniques, sur tous les continents, de Santiago du Chili à Sydney en passant par Mumbay.

    Compte tenu de ce dynamisme innovateur, économique et technologique, c’est logiquement que le World Green Infrastructure Network (WGIN) a confié à l’ADIVET le soin d’organiser en France l’événement professionnel mondial de l’année 2013 pour le secteur.

    La ville de Nantes, désignée « Capitale verte européenne » en 2013, associée à la Région des Pays de la Loire, qui abrite un pôle mondial de compétitivité du végétal, s’est imposée naturellement pour accueillir ce Congrès.

    La vocation de celui-ci est de dresser un état des connaissances, de permettre la confrontation de pratiques, la genèse de collaborations : ensemble pour créer une dynamique positive au profit de la végétalisation des infrastructures.

    Il s’agit par là même aussi de donner des outils aux décideurs pour favoriser l’émergence d’une ville qui se réapproprie la nature.

    Dans cette perspective, le programme de ce congrès a l’ambition de fédérer tous les acteurs du paysage, de l’urbanisme et de la construction, futurs professionnels, professionnels « débutants » (une journée de formation leur est proposée ) et professionnels expérimentés.

    Avec un programme dédié aux décideurs publics et privés, un programme scientifique de haute volée, une approche concrète des problématiques (deux jours de visites terrain) tous nous nous retrouverons pour apprendre, débattre et échanger autour d’une vision partagée du bâti végétalisé et de la ville nature.

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  • 10 SEPTEMBRE : CONGRèS MONDIAL TOITS ET MURS VéGéTALISéS DU 9 AU 13 SEPTEMBRE 2013

    L’effort constant de quelques acteurs depuis les années 90 et celui de l’ADIVET, associés à une prise de conscience grandissante des enjeux environnementaux, a abouti à ce que la France devienne un des premiers marchés mondiaux en ce qui concerne la végétalisation des toitures. La végétalisation des façades, de son côté, a pris son essor dans notre pays et se répand, au travers de toutes sortes de techniques, sur tous les continents, de Santiago du Chili à Sydney en passant par Mumbay.

    Compte tenu de ce dynamisme innovateur, économique et technologique, c’est logiquement que le World Green Infrastructure Network (WGIN) a confié à l’ADIVET le soin d’organiser en France l’événement professionnel mondial de l’année 2013 pour le secteur.

    La ville de Nantes, désignée « Capitale verte européenne » en 2013, associée à la Région des Pays de la Loire, qui abrite un pôle mondial de compétitivité du végétal, s’est imposée naturellement pour accueillir ce Congrès.

    La vocation de celui-ci est de dresser un état des connaissances, de permettre la confrontation de pratiques, la genèse de collaborations : ensemble pour créer une dynamique positive au profit de la végétalisation des infrastructures.

    Il s’agit par là même aussi de donner des outils aux décideurs pour favoriser l’émergence d’une ville qui se réapproprie la nature.

    Dans cette perspective, le programme de ce congrès a l’ambition de fédérer tous les acteurs du paysage, de l’urbanisme et de la construction, futurs professionnels, professionnels « débutants » (une journée de formation leur est proposée ) et professionnels expérimentés.

    Avec un programme dédié aux décideurs publics et privés, un programme scientifique de haute volée, une approche concrète des problématiques (deux jours de visites terrain) tous nous nous retrouverons pour apprendre, débattre et échanger autour d’une vision partagée du bâti végétalisé et de la ville nature.

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  • 11 SEPTEMBRE : CONGRèS MONDIAL TOITS ET MURS VéGéTALISéS DU 9 AU 13 SEPTEMBRE 2013

    L’effort constant de quelques acteurs depuis les années 90 et celui de l’ADIVET, associés à une prise de conscience grandissante des enjeux environnementaux, a abouti à ce que la France devienne un des premiers marchés mondiaux en ce qui concerne la végétalisation des toitures. La végétalisation des façades, de son côté, a pris son essor dans notre pays et se répand, au travers de toutes sortes de techniques, sur tous les continents, de Santiago du Chili à Sydney en passant par Mumbay.

    Compte tenu de ce dynamisme innovateur, économique et technologique, c’est logiquement que le World Green Infrastructure Network (WGIN) a confié à l’ADIVET le soin d’organiser en France l’événement professionnel mondial de l’année 2013 pour le secteur.

    La ville de Nantes, désignée « Capitale verte européenne » en 2013, associée à la Région des Pays de la Loire, qui abrite un pôle mondial de compétitivité du végétal, s’est imposée naturellement pour accueillir ce Congrès.

    La vocation de celui-ci est de dresser un état des connaissances, de permettre la confrontation de pratiques, la genèse de collaborations : ensemble pour créer une dynamique positive au profit de la végétalisation des infrastructures.

    Il s’agit par là même aussi de donner des outils aux décideurs pour favoriser l’émergence d’une ville qui se réapproprie la nature.

    Dans cette perspective, le programme de ce congrès a l’ambition de fédérer tous les acteurs du paysage, de l’urbanisme et de la construction, futurs professionnels, professionnels « débutants » (une journée de formation leur est proposée ) et professionnels expérimentés.

    Avec un programme dédié aux décideurs publics et privés, un programme scientifique de haute volée, une approche concrète des problématiques (deux jours de visites terrain) tous nous nous retrouverons pour apprendre, débattre et échanger autour d’une vision partagée du bâti végétalisé et de la ville nature.

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  • 12 SEPTEMBRE : CONGRèS MONDIAL TOITS ET MURS VéGéTALISéS DU 9 AU 13 SEPTEMBRE 2013

    L’effort constant de quelques acteurs depuis les années 90 et celui de l’ADIVET, associés à une prise de conscience grandissante des enjeux environnementaux, a abouti à ce que la France devienne un des premiers marchés mondiaux en ce qui concerne la végétalisation des toitures. La végétalisation des façades, de son côté, a pris son essor dans notre pays et se répand, au travers de toutes sortes de techniques, sur tous les continents, de Santiago du Chili à Sydney en passant par Mumbay.

    Compte tenu de ce dynamisme innovateur, économique et technologique, c’est logiquement que le World Green Infrastructure Network (WGIN) a confié à l’ADIVET le soin d’organiser en France l’événement professionnel mondial de l’année 2013 pour le secteur.

    La ville de Nantes, désignée « Capitale verte européenne » en 2013, associée à la Région des Pays de la Loire, qui abrite un pôle mondial de compétitivité du végétal, s’est imposée naturellement pour accueillir ce Congrès.

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    Il s’agit par là même aussi de donner des outils aux décideurs pour favoriser l’émergence d’une ville qui se réapproprie la nature.

    Dans cette perspective, le programme de ce congrès a l’ambition de fédérer tous les acteurs du paysage, de l’urbanisme et de la construction, futurs professionnels, professionnels « débutants » (une journée de formation leur est proposée ) et professionnels expérimentés.

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  • 13 SEPTEMBRE : CONGRèS MONDIAL TOITS ET MURS VéGéTALISéS DU 9 AU 13 SEPTEMBRE 2013

    L’effort constant de quelques acteurs depuis les années 90 et celui de l’ADIVET, associés à une prise de conscience grandissante des enjeux environnementaux, a abouti à ce que la France devienne un des premiers marchés mondiaux en ce qui concerne la végétalisation des toitures. La végétalisation des façades, de son côté, a pris son essor dans notre pays et se répand, au travers de toutes sortes de techniques, sur tous les continents, de Santiago du Chili à Sydney en passant par Mumbay.

    Compte tenu de ce dynamisme innovateur, économique et technologique, c’est logiquement que le World Green Infrastructure Network (WGIN) a confié à l’ADIVET le soin d’organiser en France l’événement professionnel mondial de l’année 2013 pour le secteur.

    La ville de Nantes, désignée « Capitale verte européenne » en 2013, associée à la Région des Pays de la Loire, qui abrite un pôle mondial de compétitivité du végétal, s’est imposée naturellement pour accueillir ce Congrès.

    La vocation de celui-ci est de dresser un état des connaissances, de permettre la confrontation de pratiques, la genèse de collaborations : ensemble pour créer une dynamique positive au profit de la végétalisation des infrastructures.

    Il s’agit par là même aussi de donner des outils aux décideurs pour favoriser l’émergence d’une ville qui se réapproprie la nature.

    Dans cette perspective, le programme de ce congrès a l’ambition de fédérer tous les acteurs du paysage, de l’urbanisme et de la construction, futurs professionnels, professionnels « débutants » (une journée de formation leur est proposée ) et professionnels expérimentés.

    Avec un programme dédié aux décideurs publics et privés, un programme scientifique de haute volée, une approche concrète des problématiques (deux jours de visites terrain) tous nous nous retrouverons pour apprendre, débattre et échanger autour d’une vision partagée du bâti végétalisé et de la ville nature.

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  • 17 SEPTEMBRE : ILE DE FRANCE / ESSONE / ÉVRY (91)

    Visite du site : La Médiathèque Albert Camus

    Le conservatoire de musique Albert Magnard et la médiathèque Albert Camus d’Evry, livrés par l’agence de-so en 2013 concrétise une réflexion menée depuis plusieurs années sur la question de la masse et des peaux-filtres de bâtiment. Une peau minérale en béton emprunte les motifs et la couleur des plaques d’argiles sumériennes des premiers alphabets de l’humanité. La façade minérale bruisse comme un feuillage et filtre la lumière.
    Constitué de 2 entités (médiathèque et conservatoire), coexistant sur un même plateau le projet installe sur une déclivité du parc une horizontale institutionnelle, un bâtiment public et culturel.
    Projet environnemental, l’ensemble des locaux techniques en terrasse sont camouflés, des panneaux solaires, et une toiture végétale, des matériaux sains contribuent à un environnement calme ; Espaces organisés autour d’un patio centrale pour le conservatoire de musique, espaces ouvert sur le nord et la forêt pour la bibliothèque.
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  • 24 SEPTEMBRE : FRANCHE-COMTé / JURA / LONS-LE-SAUNIER (39)

    Visite du site : La Médiathèque de Lons-le-Saunier

    L’église des Cordeliers, l’Hôtel de Balay et le mur d’enceinte de maison d’arrêt forment un ensemble urbain composé de lignes simples, de grandes surfaces minérales ou ardoisées et de masses imposantes, sobres et dignes. Le rapport qu’entretiennent ces trois constructions ne se saisit pas depuis la rue. Il n’est perceptible qu’en cœur d’îlot.

    A cet ensemble manque d’évidence un quatrième élément qui servira de clôture sur le côté nord. Ce sera le nouvel équipement culturel. Dernier arrivant dans cet ensemble, il a la politesse de se creuser pour ménager une place publique ouverte sur la rue. Il s’agit là d’une respiration urbaine bien venue dans un contexte bâti très dense. A l’instar de ses voisins, les lignes du nouveau bâtiment sont simples, sa matière est minérale (du béton) et sa présence s’affirme sans jeux superflus de volumes et de matériaux. Il tire sa force et son étrangeté du fait qu’il d’entretient des rapports actifs avec ses grands voisins. Ainsi, la double courbure de sa façade sud adresse une réponse formelle directe au grand glacis de la couverture ardoisée ; la courbe de son plan constitue une liaison naturelle entre la rue des Cordeliers, la nouvelle place centrale et le chevet de l’église. Si elle est respectueuse de son environnement, la médiathèque/cinémas n’en affirme pas moins sa présence unique. Son esthétique est réglée par une combinaison de lignes courbes. Par ce procédé il paraît un objet autonome : qu’on se place devant l’une de ses façades, on saisit le système qui la règle, on comprend qu’il s’applique à l’ensemble et on perçoit le tout.

    L’expérience extérieure se retrouve à l’intérieure. Dès l’entrée ou perçoit l’entièreté du volume intérieur. Celui-ci correspond exactement aux limites courbes données par les façades. L’organisation intérieure est d’une grande clarté : les différentes fonctions se répartissent sur trois niveaux plus un sous-sol pour les salles de cinéma. Les niveaux de la médiathèque sont reliés par un escalier droit éclairé naturellement et dont les parois sont vitrées.
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  • 26 SEPTEMBRE : ILE DE FRANCE / VAL D'OISE / ERAGNY SUR OISE (95)

    Visite du site : Le collège Léonard de Vinci

    Le collège Leonard de Vinci est implanté dans un quartier d’Eragny-sur-Oise, comprenant de nombreux équipements publics, des bâtiments tertiaires et des logements. Sur une parcelle de 7.200 m2, le collège composé d’un bâtiment monolithique construit dans années quatre-vingt, a été porté à une capacité de 450 élèves et agrémenté d’une demi-pension, de nouvelles classes et d'un plus grand centre de documentation.
    Afin degarder le “charme“,“l’équilibre“ et la “sérénité des lieux“, les architectes ont respecté la logique du parti architectural existant du collège Léonard de Vinci dont la particularité est le patio central autour duquel sont distribués les divers locaux administratifs et d’enseignement...
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  • 01 OCTOBRE : NORD-PAS-DE-CALAIS / NORD / TOURCOING (59)

    Visite du site : La Médiathèque BELENCONTRE

    Le projet est composé de deux parties :

    D’une part, la réhabilitation de la conciergerie de l'ancienne usine SEBI, ainsi que d'une partie de l'ancien mur d'enceinte, d'autre part, et la réalisation d'une extension qui s'appuie sur les deux constructions précédentes.

    1. Le bâtiment existant (ancienne conciergerie)


    Il comprend deux niveaux aménageables, le rez-de-chaussée est consacré à l’accueil du public. Il recèle l'entrée principale de la médiathèque et fait la liaison avec l'extension. Les services internes de la médiathèque sont situés au R+1.

    2. L’extension

    Le bâtiment s'appui sur le mur d'enceinte existant rénové à l'ouest, et sur l'ancienne conciergerie au nord-est. Il est composé de 3 volumes dont les toitures ondulent afin d'apporter l'éclairage naturel nécessaires aux différents espaces au cœur de la médiathèque.

    Les façades est et ouest du bâtiment sont composées d'un ensemble de structures alvéolaires ajourées. Elles permettent une communication visuelle forte avec les espaces paysagés créés de part et d'autre de la médiathèque (esplanade, jardin).

    La toiture est une surface continue en bois recouverte d'une membrane étanche de teinte gris clair. Ainsi cette volumétrie dynamique, les façades du nouveau bâtiment et sa rencontre avec les constructions existantes donnent à l’ensemble du projet une image graphique à l’échelle du site et du programme.

    Par son implantation et la définition des façades, le projet dialogue avec les aménagements paysagés alentours qui comprennent le "Jardin des Lettres" à l’Ouest, la "Place des Jets" à l’Est, la nouvelle avenue Fin de la Guerre (voie à haut niveau de service) au Sud et le nouveau quartier de Belencontre qui se développe au Sud.
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  • 08 OCTOBRE : RHôNE ALPES / RHôNE/ LYON (69)

    Visite du site : La Halle d’Athlétisme Stéphane DIAGANA

    Un concept architectural fort

    Une architecture sculpture dédiée à l’athlétisme

    La composition simple du bâtiment propose une image architecturale forte. Un volume unique façonné et poli dans le métal, adouci aux angles et sur l’entrée de la halle.
    Une seule peau s’enroule et englobe l’ensemble des façades du bâtiment, créant une continuité́ volumétrique et de couleur.
    Les ouvertures ciselées jaillissent de manière aléatoire.

    Le symbole, une architecture cinétique, expression de vitesse

    L’architecture proposée est l’expression de la vitesse de la course, de l’énergie des athlètes, du mouvement en anneau de la piste.
    La peau extérieure en métal satiné, fluide et sans angle agressif s’enroule autour de l’équipement et le recouvre sur l’ensemble des façades.

    La métaphore, des couloirs de pistes en façade

    Le projet qui s’enveloppe et se drape sur toute sa périphérie d’une vêture métallique aux dimensions d’une piste joue sur la métaphore de l’athlétisme.

    Le thème, une vitrine urbaine et contemporaine de l’athlétisme

    La façade Ouest en belvédère sur l’esplanade urbaine participe à l’animation de la ville. C’est une véritable vitrine de l’athlétisme qui met en scène le sport dans l’espace urbain. Les sportifs voient et participent à l’animation de la rue et à la vie de quartier. L’esplanade urbaine contribue à l’animation de la halle de jour comme de nuit par le mouvement des athlètes qui courent le long de la façade.
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