CALENDRIER

Examiner la relation entre pôles fonctionnels sur le site :
Se poser la question c’est déjà y répondre : le programme est présenté comme un pôle multiservices à la population, il est donc nécessaire de réfléchir aux interactions entre ces services, aux servitudes pouvant en découler, comme aux contraintes en découlant,

Programme multiple à insérer dans un batiment. Les usages ne sont pas les mêmes entre le parent qui amène son enfant à la crèche tôt le matin, l’usager qui vient consulter au SAMI, à la PMI ou au CMP, et l’agent de la ville qui vient déjeuner à midi.

L’ENJEU DE SON INSERTION URBAINE

• La vision du batiment aujourd’hui : il n’y a pas de reconnaissance de ce bâtiment aujourd’hui pas de monumentalité exprimée, plutôt une banalité typique des années 70 accentué par un alignement d’arbres très fort sur la rue de Fontenay. On se pose la question du mauvais alignement sur les deux rues rue qui déroge à l’alignement de l’ensemble de la rue de Fontenay et souligne son appartenance aux années 70, en produisant des déliassés urbains peu intéressant et générateur de nuisances, (jets de déchets, SDF, etc.). Nous trouvons cependant que le site est réellement passionnant et support a un très beau projet d’architecture, autour de sa composition urbaine d’une part et de sa composition architecturale autour de ce futur jardin d’autre part.

• Un objectif essentiel, transformer ce batiment de logement en batiment public, lui faire changer de statut et acquérir une certaine monumentalité. L’intégration d’un tel batiment dans Vincennes passe par une relation fructueuse avec la ville et ses élus.

Les objectifs généraux et urbanistiques fixés par le Maître d’ouvrage, sont intégrés à notre projet de manière cohérente et conséquente. Les modules (IUT, PRES, RU et Résidence) sont groupés autour d’une cour intérieure généreuse et bien proportionnée.

D’une part un îlot clos, d’autre part le cœur de celui-ci avec ses terrasses, véritable «forum commun», favorisent la communication et les échanges.
L’IUT est aménagé au Nord, le long de la rue Jaboulay, orienté vers les autres îlots universitaires.

Le siège de l’Université de Lyon, lui, situé près de l’entrée principale, sur la rue Pasteur, se différencie des autres entités par sa hauteur et une profondeur plus importante. Cette situation particulière est due à l’importance du bâtiment et sa position en face du Rectorat. La vue se prolonge à travers le RdC généreusement vitré, zone d’entrée de toutes les entités, vers la cour intérieure. Elle fait office d’espace de rencontre.

Le coeur de l’îlot joue un rôle majeur dans la vie universitaire du quartier et de la ville.

La halle des sports comprend une salle multisports, une salle de gymnastique spécialisée ainsi qu’un ensemble de locaux : vestiaires, sanitaires, locaux administratifs, locaux de stockage, techniques, annexes.
La silhouette dynamique du projet s’inscrit dans une forme simple et unitaire, pour un coût de construction maîtrisé et une surface en contact avec l’extérieur limitée, ayant pour avantage : la réduction des déperditions, la réduction de la facture énergétique et l'augmentation du niveau de confort des utilisateurs.
Le projet bénéficie également d’un parvis très animé : il s’implante au centre du le Parc Maurice Audin, aux croisement des deux axes majeurs, pour former un parvis commun au Lycée et à la Halle des sports. Une large baie met en vitrine sur le parvis les matchs qui se déroulent dans la salle multisports. L’aire de jeu intérieur est de plain-pied avec l’espace urbain et semble se prolonger à l’extérieur.

Horaires : 18h à 20h au 29 Boulevard Raspail 75007 Paris.

La COP21 a montré que les solutions innovantes viendront des « territoires » qui sont des décideurs
souvent plus engagés et déterminés que leur gouvernement.
Les architectes sont des acteurs incontournables de cette engagement au niveau global.
Les architectes parisiens souhaitent s’impliquer au niveau local .
Les Architectes de l’UNSFA 75 de Paris veulent être les acteurs du changement, notamment en informant les professionnels et leurs clients sur les orientations prises par la Ville de Paris, et faire avancer les choses plus vite en échangeant avec la Ville sur les bonnes pratiques
C’est la raison pour laquelle nous organisons cette réunion ouverte aux syndiqués et sympathisants :

Programme

Introduction : Refaire la ville résiliente sur la ville : UNSFA
La volonté Politique : Densification, Verdissement, Résilience: ville de Paris
État de lieux : Études, Outils ( PLU) et Leviers ( surélévation, sur-densité, Copropriétés…) : l’APUR
Mise en œuvre de la politique environnementale de la ville : Architecte Voyer
L’Architecte des bâtiment de France et la Rénovation énergétique : ABF ( en attente de confirmation)
Pôt de clôture.


Inscriptions et informations complémentaires :
http://urlz.fr/4zHJ

La configuration du projet répond aux contraintes urbaines, fonctionnelles et symboliques du programme à savoir donner une nouvelle image à la présence du Centre national de la fonction publique territoriale à Strasbourg en regroupant dans un bâtiment unique deux de ses structures, au cœur d’un quartier en profonde mutation : le projet se signale ainsi par sa masse bâtie à l’angle formé par la Route du Rhin et la Rue Edmond Michelet.
Depuis l’accès principal, entre le rez-de-chaussée et le niveau 2, la partie formation qui se développe horizontalement autour d’un patio. Elle est caractérisée par la présence de grandes salles de formation et d’un amphithéâtre accueillant un public nombreux dont les circulations se font selon des rythmes différenciés. Véritable école de formation des cadres supérieurs de la fonction publique territoriale, ce socle organisé sur 3 niveaux demande une organisation claire, des points de repères forts, des couloirs correctement dimensionnés et une grande accessibilité, ce projet y répondant avec la mise en scène d’un escalier monumental permettant les liens et les rencontres.

Le deuxième volume se développe sur quatre niveaux, surplombe le premier et signale notre édifice sur l’angle de l’ilot. Il est dédié exclusivement aux fonctions des bureaux. Les caractéristiques de cette «petite tour » sont génériques pour un bâtiment de bureaux : des plateaux libres, flexibles, desservis par deux escaliers encloisonnés et deux ascenseurs.
A l’interface de ces deux volumes au niveau 3, s’installe un programme spécifique dédié aux élèves en formation longue et à la détente pour les agents, qui s’ouvre sur une terrasse de près de 500 m² offrant une vue sur le bassin Malraux et les nouvelles constructions alentours.
Nous avons veillé à faire cohabiter ces deux échelles dans un sens d’ensemble urbain cohérent en utilisant un vocabulaire simple, efficace et aisément appréhendable le patio, la terrasse, l’escalier libre.

Le centre de formation de Maubreuil comprend 19 salles de formations, un amphithéâtre de 150 places, un restaurant de 300 places, des espaces de détente et 105 chambres.

Le centre de formation est constitué de 2 entités contrastées, issues du site, et qui se répondent : d’une part, le « promontoire végétalisé » : une avancée paysagère douce, une contre?courbe du terrain. Il s’insère à la campagne vallonnée. Il se développe en promenade ascendante, pour finir en belvédère sur la vue panoramique sur le lac. D’autre part, une construction minérale en pierre naturelle, ancrée au sol, abrite le pôle formation et l’hébergement.
Le Centre de formation est un projet BBC.
Il est conforme à la RT 2012.

Récupération bioclimatique optimisée des apports gratuits :
- Protection solaire fixe ou intégrée au triple vitrage respirant.
- Enveloppe thermique optimale.
- Chaudière gaz à condensation et groupe d’eau glacée.
- Ventilation double flux haute performance à récupération énergétique.
- Production solaire chauffage et eau chaude sanitaire combinée.
- récupération de la chaleur des eaux grises.
- Prise en compte des coûts d’exploitation systématique dans le choix des matériaux.

L’extension propose une sobriété de volume, de modénature, en opposition à l’existant très expressif.
L’harmonie est assurée par le traitement de la façade en strates horizontales répondant aux bandes vitrées de l’existant et par un respect de la matérialité (béton poli) et tonalité (blanc ivoire).
Les strates alternées claires et sombres tournent sur les 3 façades, évitant un effet de pignon en façade nord-est. Elles reflètent également les grandes corniches du siège actuel.
Ce dessin rappelle aussi la stratification de nos montagnes.